Catherine et Corinne /
Chacun.e chez nous, nous allons continuer à travailler : les étudiant.e.s vont rendre leurs documents (plateforme Moodle de l'école) et nous ferons des commentaires individuels pour que tout le monde puisse poursuivre la réflexion et le travail sur le projet individuel.
Pour le moment, le projet collectif avec Stéphane Marin n'est que repoussé.
Sophie et Roxanne repartent cette semaine au Canada, étant rapatriées par leur université d'origine. Nous espérons avoir de leurs nouvelles et continuer à échanger (sans doute seront-elles en quarantaine ? Comment est la situation au Canada ?).
Prenons notre mal en patience et prenons soin de nous tou.te.s.
A bientôt en chair et en os, pour un grand pique-nique d'atelier de printemps !
Pour cette séance, apparaissent sur le blog, les intentions de projet de chacun.e :
Thomas /
MODU-LIER PAR L’AUTO-PRODUCTION est un projet qui est réparti sur le site avec trois bâtiments qui offrent chacun d’eux des programmes variés comme une cuisine et une salle polyvalente, un espace numérique ainsi qu’une atelier de fabrication et de création du bois.
En étant répartis le long de visées principales sur l’axe Nord-Sud majeur du site ou encore à l’Ouest au niveau de la route du TOEC, les bâtiments sont comme des invitations à la production de quelque chose que chacun sait faire.
Le premier bâtiment, l’espace numérique a été jugé idéal pour prendre place non loin de l’arrêt de bus, de l’école d’ingénieurs et des bureaux. Cet emplacement est fréquenté de manière ponctuelle, comme un passage et c’est justement ce qu’attend le bâtiment, le traverser en s’y intéressant de plus près, le temps que l’on souhaite pour apporter son aide.
Le second bâtiment se situerait à l’emplacement de la petite halle. En la démolissant, sa superficie laisserait place à une salle polyvalente qui reprendrait une trame régulière, tout comme la cuisine qui serait à ses côtés. Cet emplacement représente une manière d’attirer du public par sa jonction avec la place de la Charte des Libertés communales. En effet, en voulant étendre un système de mobilier de cuisine au delà de l’espace couvert, cette place permettrait d’accueillir du monde pour favoriser les échanges en réalisant des repas de quartier par exemple. Elle représenterait l’idée de production culinaire multiculturelle.
Dans la continuité de l’axe Nord-Sud, un atelier de fabrication de bois d’environ prendrait place entre l’école De Condé et le groupe scolaire de petite enfance. Il serait utile pour ces deux cas notamment pour la construction de mobilier en bois que réalise parfois l’école d’enseignement supérieur. Son principal atout serait la fabrication d’éléments en bois qui pourraient investir des espaces du site.
En réalité, cet atelier permettrait la production de modules tels que des bacs en bois dans lesquels pousseraient des légumes, des pistes de skate, des agrès de sports… Ils se logeraient sur les limites des ilots et remplaceraient les simples barrières de séparation.
La cohérence de l’ensemble des bâtiments et modules serait assurée par l’utilisation du bois et plus particulièrement par l’utilisation d’un barreau en bois que l’on trouve dans les barrières, tel un module de 105x8x6 cm que l’on viendrait décliner selon les usages.
Le premier bâtiment, l’espace numérique a été jugé idéal pour prendre place non loin de l’arrêt de bus, de l’école d’ingénieurs et des bureaux. Cet emplacement est fréquenté de manière ponctuelle, comme un passage et c’est justement ce qu’attend le bâtiment, le traverser en s’y intéressant de plus près, le temps que l’on souhaite pour apporter son aide.
Le second bâtiment se situerait à l’emplacement de la petite halle. En la démolissant, sa superficie laisserait place à une salle polyvalente qui reprendrait une trame régulière, tout comme la cuisine qui serait à ses côtés. Cet emplacement représente une manière d’attirer du public par sa jonction avec la place de la Charte des Libertés communales. En effet, en voulant étendre un système de mobilier de cuisine au delà de l’espace couvert, cette place permettrait d’accueillir du monde pour favoriser les échanges en réalisant des repas de quartier par exemple. Elle représenterait l’idée de production culinaire multiculturelle.
Dans la continuité de l’axe Nord-Sud, un atelier de fabrication de bois d’environ prendrait place entre l’école De Condé et le groupe scolaire de petite enfance. Il serait utile pour ces deux cas notamment pour la construction de mobilier en bois que réalise parfois l’école d’enseignement supérieur. Son principal atout serait la fabrication d’éléments en bois qui pourraient investir des espaces du site.
En réalité, cet atelier permettrait la production de modules tels que des bacs en bois dans lesquels pousseraient des légumes, des pistes de skate, des agrès de sports… Ils se logeraient sur les limites des ilots et remplaceraient les simples barrières de séparation.
La cohérence de l’ensemble des bâtiments et modules serait assurée par l’utilisation du bois et plus particulièrement par l’utilisation d’un barreau en bois que l’on trouve dans les barrières, tel un module de 105x8x6 cm que l’on viendrait décliner selon les usages.
Hafsa
/
LES
SCÉNARIOS URBAINS
Ce
long parvis de la Halle délabrée
Je
la vois comme une continuité
Entre
la place du zénith et Liberté
Je
la vois comme une place de marché
C’est
une hétérotopie, cette place de marché
Car
par sa multitude d’usages on y est conviés
On
y vient manger, discuter, partager, marchander, se poser, se promener
Aussi
bien avec les enfants et les personnes âgées
Cet
espace est indispensable pour la vie du quartier
Entre
dernières infos et commérages de la voisines de palier
En
passant par des conseils de tricot pendant le marché de la
solidarité
Et
des souvenirs partagés lors des vide greniers
C’est
aussi un lieu où le temps est pausé
Les
fruits, viandes et produits laitiers
Y
sont classés, rangés archivés
Une
nature morte prête à être consommée.
C’est
un espace à ciel ouvert mais à la fois fermé
Car
une fois couvert par un parasol planté
On
fait partie de cet univers protégé
Un
microcosme, qui attire par ses activités
Les
parasols sont disposés selon les besoins des usagers
Tantôt
regroupés, dispersés, repliés
Protègent
et réunissent différentes activités
En
dessous il est possible de marchande tout comme se prélasser
C’est
un voyage de saveurs, couleurs et senteurs épicées
Venant
rythmer la vie des toulousains et “cartouchiers”
Favorisant
partage et mixité
De
jour et même une fois la nuit tombée.
Le
soir lumières et projection : le mur est magnifié
Chargé
d’histoire il se doit être glorifié
Accompagnant
les habitants entre les deux places du quartier
Ils
longent une histoire, qui se doit être partagée.
Redha
/
Mes
intentions partent sur une base socio-culturelle pour créer un
espace qui pourra réunir, rassembler et tisser des liens entre les
habitants du quartier afin de redynamiser et revitaliser le quartier.
Mon
programme se basera sur l’échange et le partage, un partage
intergénérationnel qui permettra par la suite de s’entraider
entre habitants du quartier.
En
choisissant la petite halle comme espace d’intervention, un lieu
qui recevra le programme dédié, j’ai essayé de maitriser la
surface et le volume qui sont offert par ce lieu. La petite halle se
compose de trois travées avec une structure en béton et aussi une
charpente en béton, en offrant un espace particulier et très
intéressant qui est à mon avis très adapté avec mes intentions
programmatiques, j’ai pensé à consacrer toute une travée centrale
comme un grand espace de rassemblement au cœur du projet, qui sera
comme un jardin intérieur et fera le lien avec l’extérieur, de
l’est avec le parvis entre les deux halles de la Cartoucherie, et
de l’ouest avec la promenade des sport, cet espace central qui
desservira le reste des espaces programmatiques, sera végétalisé
afin de créer une convivialité spatiale qui donnera l’envie aux
gens de venir découvrir.
Choukri /
Intentions :
Le fait d’avoir une limite empêche toute liberté, on est prisonnier de son propre logement.
Si on ouvre l'îlot, intérieur et extérieur ne feront qu’un et seront reliés par des espaces interstitiels, les équipements (une bibliothèque, une cafétéria, des commerces, une salle de gym et des ateliers).
Donc, la façade pose problème, pour donner une nouvelle vie au quartier, il faudra la transformer et travailler le rez-de-chaussée pour le rendre plus libre, plus accessible et plus ouvert.
Les riverains ont des besoins, c’est qui est un problème, on peut y répondre avec la meilleure des solutions, équiper les rez-de-chaussée en fonction des besoins.
- Bibliothèque commune – Apprendre et se détendre
- Cafétéria – Se nourrir/manger
- Commerces – Se ressourcer
- Gym – S’exercer/se dépenser
- Atelier – Travailler
Objectifs :
Pour le projet, le contexte est très important car il veut mettre tout en œuvre pour activer ce quartier.
Plusieurs sujets vont être travaillés:
- Changement de système structurel en rez-de-chaussée, en tenant compte de la structure supérieurs des logements.
- Un nouveau programme, plus adapté aux riverains et au quartier, qui a pour but de satisfaire leurs nécessités.
- Une nouvelle façade en rez-de-chaussée plus libre, plus agréable.
- Des espaces verts et un cœur d’îlot qualitatifs.
Anaïs /
Choukri /
Intentions :
Le fait d’avoir une limite empêche toute liberté, on est prisonnier de son propre logement.
Si on ouvre l'îlot, intérieur et extérieur ne feront qu’un et seront reliés par des espaces interstitiels, les équipements (une bibliothèque, une cafétéria, des commerces, une salle de gym et des ateliers).
Donc, la façade pose problème, pour donner une nouvelle vie au quartier, il faudra la transformer et travailler le rez-de-chaussée pour le rendre plus libre, plus accessible et plus ouvert.
Les riverains ont des besoins, c’est qui est un problème, on peut y répondre avec la meilleure des solutions, équiper les rez-de-chaussée en fonction des besoins.
- Bibliothèque commune – Apprendre et se détendre
- Cafétéria – Se nourrir/manger
- Commerces – Se ressourcer
- Gym – S’exercer/se dépenser
- Atelier – Travailler
Objectifs :
Pour le projet, le contexte est très important car il veut mettre tout en œuvre pour activer ce quartier.
Plusieurs sujets vont être travaillés:
- Changement de système structurel en rez-de-chaussée, en tenant compte de la structure supérieurs des logements.
- Un nouveau programme, plus adapté aux riverains et au quartier, qui a pour but de satisfaire leurs nécessités.
- Une nouvelle façade en rez-de-chaussée plus libre, plus agréable.
- Des espaces verts et un cœur d’îlot qualitatifs.
Anaïs /
PROMENADE HABITÉE(S)
Mon
projet est un espace dont la conception s’articule autour de la
culture et de la pédagogie dans le quartier de La Cartoucherie.
Mes intentions sont:
- TISSER UN LIEN ENTRE LES JARDINS DU BARRY ET LE COEUR HISTORIQUE DU QUARTIER: LES HALLES DE LA CARTOUCHERIE
Mon choix d’implantation se situe sur la future «promenade jardinée» au sud-ouest.
Celui-ci prend en compte l’évolution
de la programmation du quartier afin de créer un lien entre
l’éco-quartier et son jardin à proximité avec sa riche biodiversité.
Un
espace qui ne sera pas impacté par la hauteur des bâtiments profitant
d’un ensolleilement et dont l’emplacement est au centre de lieux
pédagogiques permettant de mutualiser les futurs usages de mon projet.
-> Nouvel axe piéton
- CRÉER UNE DYNAMIQUE COLLECTIVE AUTOUR D’UN ESPACE DE RENCONTRE, D’ÉCHANGE ET DE PARTAGE
Par
la création d' une dynamique de différentes ambiances tout le long de
la journée par la conception d’espaces qui se basent sur les 5 sens.
- ANIMER DES ATELIERS CULTURELS ET PÉDAGOGIQUES POUR UN PUBLIC: ENFANTS ET SENIORS AU TRAVERS D’UN PARCOURS SEQUENCE
Un parcours séquence, pour permettre aux usagers de déambuler dans cette Promenade Habitée(s) afin de faire une transition progressive de la ville (Éco-quartier de la Cartoucherie) vers la nature (Jardin du Barry)"
Uriel /
Le Rucher est un espace associatif qui vise à encourager les échanges sociaux au sein du quartier, en créant un espace et un jardin évolutif, flexible et versatile : adaptés au partage des arts de vivre.
Uriel /
Le Rucher est un espace associatif qui vise à encourager les échanges sociaux au sein du quartier, en créant un espace et un jardin évolutif, flexible et versatile : adaptés au partage des arts de vivre.
Vis-à-vis
des problématiques environnementales, sociales, économiques actuelles
les gens souhaitent de plus en plus revenir aux "faire-soi-même", au
"faire pousser-soi-même", à "l’apprendre soi-même". Le savoir-faire pourrait ainsi
redevenir ainsi une monnaie d’échange entre différentes générations, groupes sociaux et cultures au sein du quartier.
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